Suite du premier volet sur la négocation fournisseur.
C’est probablement la forme de négociation la plus « populaire ». Également la plus significative (en général). La négociation du prix est le type le plus lucratif et devient, de ce fait, hautement préconisé par tout commerçant qui se respecte. Il s’agit de tenter d’obtenir l’avantage d’un abandon partiel ou –idéalement- total de certaines dettes.
Ce genre de négociations offre des avantages évidents autant pour le fournisseur (il est, ainsi, plus rapidement remboursé) que pour le client (il se voit accorder une marge de trésorerie). D’ailleurs, un client peut parfaitement mener, parallèlement, des négociations de délais (additionnelles à celles du prix).
Notez que, généralement, un fournisseur est particulièrement favorable à ce type de compromis à condition d’obtenir la garantie que les « difficultés » de trésorerie du client concerné sont passagères.
L’issue des négociations peut se matérialiser sous forme d’accord amiable ou judiciaire (légalement imposé, en cas de désaccord). Dans les deux cas, il est vivement recommandé de solder cette issue par une officialisation rédigée (un protocole).
S’il s’agit d’un accord judiciaire, la sentence du tribunal saisi obligera les deux parties à établir un document officiel (souvent un contrat).
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