D’aucuns vous diront qu’ils ont mené leurs projets à bien, sinon en sautant carrément cette phase, tout du moins en la bâclant.
C’est possible. Mais ce type de réussite tient plus au hasard qu’à la recette infaillible de succès. Or, l’entreprenariat est un investissement (professionnel et personnel) bien trop important pour être basé sur le pur hasard.
L’étape est d’autant plus cruciale dans le cas d’un entrepreneur sur le point d’intégrer un réseau de franchise, qu’il s’agit, en l’occurrence, autant de son éventuel succès, que de celui d’ores et déjà confirmé, qu’il « hérite » de son franchiseur.
Pourtant, beaucoup de futurs franchisés, submergés par la masse de formalités et de préparatifs à mettre en place pour le lancement de leur point de vente, choisissent de considérer l’étude de marché comme une phase « facultative » dans le processus de création. L’argument le plus récurrent, à ce niveau, étant « Inutile d’établir une étude de marché ; Je connais parfaitement mon domaine d’activité et les fluctuations de son marché. »
Erreur fatale. Plus que nécessaire, la phase de l’étude du marché demeure obligatoire. Elle s’inscrit dans la lignée de ces éléments incontournables qui décident du succès du démarrage du projet ainsi que de son bon fonctionnement.
Et pour cause…
Premièrement, il est indispensable d’étudier les perspectives de rentabilité de votre point de vente par rapport à la conjoncture du marché. La procédure vous permettra d’évaluer/anticiper les risques relatifs à cette conjoncture, et donc de les limiter.
Deuxièmement, une étude de marché vous offrira la garantie que le projet en-devenir remplit bien tous les critères du succès escompté. Entre espérer réussir, et savoir que l’on va réussir, l’étude de marché fera toute la différence.
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