Interview de Yann Ricordel de la franchise ADA

Yann Ricordel : ADA est un loueur de véhicule low-cost depuis 1984 qui se développe en maillant le territoire au maximum : 95% de nos clients habitent à proximité d'une agence. Preuve du dynamisme de notre enseigne, notre chiffre d'affaires progresse d'environ 5 % tous les ans en France. Nous sommes le premier loueur de proximité, le premier réseau de franchise de location de voitures et le premier sur le marché de la location de véhicule utilitaire.

Nous cherchons des profils de commerciaux et de managers, capables de gérer une entreprise. Aucune notion de mécanique n'est nécessaire, puisque la maintenance des véhicules se fait en externe.

De 400 agences en 2006, nous avons dépassé les 450 unités au début de l’année en France Métropolitaine et dans les DOM-TOM, et nous atteindrons les 500 agences en 2009. Nous sommes bien implantés en Ile de France et en PACA, et nous recherchons prioritairement des candidats dans l'Est, en Bretagne, en Rhône-Alpes, dans le Centre et dans le Sud-Ouest. Nous avons également quelques agences à l’étranger (pays limitrophes de la France et pays nord-africains).

Nous avons lancé ce service en avril 2008. Les clients louent à l'heure, à la demi-journée ou pour la nuit, et le forfait kilométrique et le carburant sont inclus. Le premier but recherché est de proposer le service de location de voiture le moins cher du marché, et vu le succès de l'offre, tout laisse à penser que nous avons remporté notre pari. Afin de faire baisser encore les coûts, deux modèles de véhicule seulement sont disponibles : une Opel Corsa pour la voiture et un Opel Movano 10 Mètres Cube, pour le véhicule utilitaire. En ville, ADA Malin est un service d’auto-partage malin, puisqu’il est sans abonnement, que le carburant est inclus, et qu’il est encore moins cher que les opérateurs d’auto-partage concurrents ! A Paris par exemple avec ADA Malin, nous sommes maintenant l’opérateur d’auto-partage le mieux implanté sur la place, avec 41 stations dans Paris intra muros et en proche banlieue.

Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian