Samuel Melun - O2 Jardinage :« J’avais envie de me rapprocher de la nature »

Samuel Melun : Avant de rejoindre O2, je travaillais dans la plomberie industrielle, où je fabriquais notamment des vannes. J’avais envie de changement, de me rapprocher de la nature, de travailler à l’extérieur. L’idée de me tourner vers le jardinage m’a tout de suite séduit.

C’est à la suite d’un plan social que j’ai commencé à réfléchir sérieusement à la création de ma propre entreprise. Mais seul, ce n’était pas simple : étude de marché, plan financier… Je manquais de repères. Un cabinet de conseil professionnel m’a recommandé O2 et m’a suggéré de déposer ma candidature. Après les premiers échanges, j’ai tout de suite senti que c’était la bonne voie : l’expertise du réseau, la réactivité et la bienveillance ont fait la différence.

J’ai tout de suite bénéficié d’un accompagnement de grande qualité. Mon référent m’a parfaitement guidé dès les premiers échanges. C’était une rencontre décisive. Il m’a apporté un cadre rassurant et concret, m’a expliqué les fondamentaux pour piloter mon activité, la gestion administrative, les outils à ma disposition… On ne se sent jamais seul.

Ce qui m’a convaincu, c’est le sérieux, la solidité et la notoriété de la marque. Ce qui a fait la différence, ce sont la clarté du parcours entrepreneurial proposé, la transparence des informations partagées et la bienveillance des équipes. J’ai rapidement compris que je n’allais pas être seul dans cette aventure, et c’est exactement ce que je recherchais pour me lancer sereinement.

Je lui conseillerais avant tout de ne pas se lancer seul. L’accompagnement est clé, surtout lorsqu’on n’a jamais créé d’entreprise. Rejoindre un réseau comme O₂, c’est bénéficier d’un cadre rassurant, d’outils éprouvés et d’un appui constant pour avancer étape par étape. Il faut aussi aimer le contact humain, être rigoureux dans l’organisation et savoir s’adapter. Mais si on est motivé, curieux et qu’on a envie de travailler en toute autonomie, c’est un métier très gratifiant. Chaque jardin que l’on entretient, c’est un client satisfait et un travail concret dont on peut être fier.

Les débuts n’ont pas été simples, mais j’ai pu m’appuyer sur un dispositif solide. Grâce à mon congé de reclassement et au chômage, j’ai eu l’opportunité de lancer mon activité progressivement. Ces 18 premiers mois m’ont permis de poser les bases à mon rythme.

Aujourd’hui, je couvre un périmètre élargi autour de Chambéry. Je travaille seul et j’ai suffisamment de clients pour vivre de mon activité. Je pourrais aller plus loin en développant davantage, mais je préfère avancer avec prudence et sérénité.

Clairement pas. Monter une entreprise sans expérience, c’est un vrai défi. Grâce à O2 , j’ai bénéficié d’un pilotage structuré. Le réseau me guide, me donne les clés pour avancer. On ne nous laisse jamais livrés à nous-mêmes, et c’est ce qui m’a permis de réussir.

Je réfléchis à développer l’activité en recrutant, mais cela représente un vrai saut : embaucher signifie aussi augmenter la charge de travail et les investissements. Pour l’instant, j’attends d’avoir les bonnes conditions. Si une belle opportunité se présente, j’aimerais beaucoup intégrer un jeune motivé dans cette aventure.