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Interview de Jocelyn Mesinel, de la franchise Midas

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Jocelyn, depuis combien de temps êtes-vous franchisé Midas ?
JM : « Depuis le 28 juin 2011 exactement. »
 
Que faisiez-vous auparavant ? 
JM : « J’ai exercé la profession de chauffeur de taxi durant 14 ans. Dès que j’ai su que je pouvais exercer un métier possédant un lien fort avec l’automobile, je ne me suis pas posé de questions et j’ai tenté ma chance. J’ai analysé les différentes options qui s’offraient à moi dans le domaine de la franchise automobile et mon choix s’est très vite porté sur Midas. L’expérience, la notoriété et l’accompagnement des franchisés par Midas ont été les trois facteurs essentiels à ma décision. »
 
Combien de temps vous a-t-il fallu entre le temps où vous vous êtes déclaré candidat à la franchise et le jour où vous avez officiellement repris le centre ? 
JM : « Il m’a fallu un peu plus d’un an. Cette durée n’est pas en lien direct avec Midas mais surtout par rapport au franchisé vendeur  Je suppose que cette durée peut donc varier en fonction des franchisés. »
 
Quelles ont été les difficultés rencontrées ? 
JM : « Je n’ai pas eu à me confronter à de réelles difficultés. La seule et véritable difficulté à laquelle j’ai dû faire face est le temps, notamment lors de la négociation avec le franchisé. Midas m’a accompagné tout au long de l’année. Du début jusqu’à la fin (en passant par la négociation, le loyer…), les différents acteurs de Midas ont toujours répondu présent lorsque j’avais des points de blocages ou des besoins d’accompagnement. Donc cela s’est très bien passé. »
 
Lorsque l’on reprend un centre, on reprend aussi une équipe. Comment cela se passe-t-il avec votre équipe ? 
JM : « Tout se passe bien, je suis content. J’ai une équipe enthousiaste et travailleuse. Nous avons fait connaissance dès le départ et la rencontre s’est bien déroulée. J’appréhendais de diriger des hommes puis finalement, comme je vous le disais, tout s’est bien passé. On fonctionne bien ensemble, on se respecte et on est à l’écoute des autres. Tous les soirs, nous mettons en place des briefings pour discuter de la journée et voir les points d’amélioration. N’étant pas du métier, je compte aussi sur eux et ils répondent présent pour l’instant. J’apprécie beaucoup leur aide. » 
 
Vous n’êtes pas du métier. Comment définiriez-vous une de vos journées type, quel est votre quotidien ? 
JM : « Je m’occupe des rendez-vous sur internet, je réponds au téléphone, je réalise des devis… Je vais aussi souvent dans l’atelier pour comprendre les tâches des monteurs et leurs contraintes, notamment en termes de temps. Le chef de centre est présent depuis plus de 12 ans et il n’hésite pas à m’épauler lorsque le besoin s’en fait sentir. Et puis bien sûr, il y a toute la partie administrative et financière. Pour résumer, je suis un petit peu partout et comme nous sommes en pleine saison je me dois d’assimiler toutes mes tâches très rapidement. »
 
La plupart des nouveaux franchisés prennent un nouveau centre. De votre côté, vous avez préféré reprendre un centre existant. C’est un choix ? 
JM : « Oui, tout à fait. Je préférais poursuivre avec un centre existant, avec sa propre clientèle.
En tant que nouveau franchisé, j’estime pouvoir apporter de la fraîcheur et des nouvelles idées au centre.
Les collaborateurs déjà en place voient les choses d’une certaine façon et moi d’une autre. L’objectif est de pouvoir mutualiser et de prendre le meilleur de chacun pour optimiser notre organisation. »
 
Merci beaucoup, auriez-vous quelque chose à ajouter ? 
JM : « Je suis très content d’avoir eu l’opportunité d’intégrer le groupe Midas. Je souhaite dire merci à tous les collaborateurs Midas qui ont été à mes côtés depuis le départ et qui m’ont permis la reprise du centre de Pavillon-sous-bois.»
 
(Interview fournie par l'enseigne)

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