Interview franchise Daniel Moquet
Matthieu Deniaud - Daniel Moquet : « La franchise, c’est aller trois fois plus vite que tout seul »
Matthieu Deniaud, franchisé à Pornic - le
Matthieu Deniaud est franchisé Daniel Moquet à Pornic, en Loire-Atlantique. Passionné par l’aménagement extérieur depuis toujours, il a gravi les échelons jusqu’à diriger sa propre activité au sein du réseau. Il revient sur un parcours logique, mûri, et sur les atouts concrets de la franchise dans le développement d’un projet d’entrepreneur.
La rédaction : Peux-tu te présenter et nous raconter ton parcours avant de rejoindre le réseau Daniel Moquet ?
Matthieu Deniaud : Bonjour, je m’appelle Matthieu Deniaud. Je suis marié, père de trois enfants, et je suis implanté sur le secteur de Pornic, en Loire-Atlantique.
Depuis le lycée, je suis passionné par l’aménagement extérieur. J’ai orienté mon parcours en ce sens dès le départ, en intégrant le Lycée de Briacé, où j’ai obtenu un BAC STAE option aménagement paysager. J’ai poursuivi avec un BTS Aménagement Paysager à l’ESA d’Angers, en alternance dans une entreprise de paysage locale. À l’issue de ma formation, j’ai été embauché en CDI dans cette même structure.

Qu’est-ce qui t’a motivé à te lancer dans l’aménagement extérieur et pourquoi avoir choisi la franchise plutôt qu’une entreprise indépendante ?
L’aménagement extérieur a toujours fait partie de mon parcours, il était donc naturel pour moi de continuer dans cette voie qui me passionne depuis toujours.
Le choix de la franchise s’est imposé comme une évidence. Intégrer un réseau, c’est bénéficier d’un soutien, de supports solides, d’échanges enrichissants, d’une communication efficace, et surtout, d’une croissance trois fois plus rapide qu’en se lançant seul.
Comment as-tu découvert le réseau Daniel Moquet et qu’est-ce qui t’a convaincu de franchir le pas ?
J’ai découvert le réseau en passant régulièrement devant l’entreprise de Pornic, lorsque je travaillais dans mon ancienne entreprise. Intrigué, j’ai fait des recherches sur Internet pour mieux comprendre le concept. Ce que j’ai découvert m’a convaincu, et j’ai donc postulé pour intégrer l’équipe de Gaëtan Davieau en tant que technicien allées en 2016.
Quelles ont été les principales étapes de ton lancement et comment le réseau t’a-t-il accompagné ?
En septembre 2019, Gaëtan m’a proposé de devenir gérant de l’activité clôtures. J’ai accepté et suis parti en formation tout le mois de septembre à Bonchamp, avec huit autres gérants.
À l’époque, le réseau Signe Vos Clôtures était en plein lancement. Nous avons été accompagnés par Laurent Minguet et Emmanuel Melot. Comme tout début d’activité, nous avons dû faire face à des ajustements, mais le réseau a toujours été à l’écoute et a su évoluer rapidement pour nous accompagner avec des améliorations (Optimisation des outils et équipements, référencement des fournisseurs et développement des supports de communication). Ces évolutions montrent que le réseau s’adapte constamment aux besoins des franchisés.
À quoi ressemble une journée type pour toi ?
7h00 : Arrivée au bureau
7h30 : Accueil des équipes, aide au chargement des véhicules, échange autour d’un café pour discuter de la journée
8h00 : Visite de chantier pour accompagner les équipes lors du démarrage
10h, 14h, 16h : Rendez-vous clients
Fin d’après-midi : Retour au bureau pour gérer les dossiers, devis et commandes
Soirée : Retour à la maison pour profiter de la famille
Chaque journée est différente, ce qui rend le métier passionnant.
Quelles compétences sont essentielles pour réussir en tant que gérant Daniel Moquet ?
Trois compétences me semblent primordiales :
- L’organisation : indispensable pour gérer les chantiers, les équipes et la clientèle
- La convivialité : un bon esprit d’équipe et une proximité avec les clients sont essentiels
- La rigueur : Si on suit les recommandations du réseau lors des formations, il n'y a pas de raison que cela ne marche pas !
Quels ont été tes premiers succès ou événements marquants en tant que gérant ?
Deux moments ont été particulièrement marquants : Mon premier one-shot, une vente conclue dès le premier rendez-vous, qui reste toujours un moment satisfaisant et atteindre un million d’euros de chiffre d’affaires dès la deuxième année, une grande fierté, surtout pour mon équipe
Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui hésite à rejoindre le réseau ?
"L’hésitation, c’est la ruine." Plus sérieusement, être gérant implique des responsabilités, mais on n’est jamais seul. Le réseau apporte un soutien humain et professionnel constant. C’est une aventure à la fois riche et stimulante, qui vaut le coup d’être vécue. Il faut se lancer, tout en gardant les pieds sur terre.
Quels sont, selon toi, les atouts du réseau Daniel Moquet ?
Le réseau Daniel Moquet bénéficie d'une forte notoriété et d'une bonne réputation, ce qui rassure les clients avant même d'aller en vente.
Si c’était à refaire, referais-tu le même choix ?
Si c'était à refaire, je recommencerais sans hésiter !
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