« Notre chiffre d’affaires connaît une hausse régulière »

David Pasquier : Mélanie a travaillé pendant 10 années dans le courtage en assurances et elle a une grande expérience de la gestion clientèle, Elle a notamment développé le produit AXA Banque au sein du cabinet. Quant à moi, après une école de commerce, je me suis orienté vers l’immobilier professionnel en intégrant JLL une très grande enseigne d’immobilier professionnelle internationale dans laquelle j’ai acquis rigueur, logique commerciale et la notion de performance. J’ai ensuite eu l’opportunité de travailler au lancement d’une Start Up dans l’univers de l’éclairage LED. Entreprise dans laquelle j’ai développé esprit d’initiative et le management.

La décision de rejoindre un réseau de franchise nous est apparu évidente. Le secteur du courtage se structure autour de grands réseaux. Il est donc plus pertinent de faire partie d’une enseigne avec un fort potentiel et un vrai concept différenciant.

Paris est un cas assez unique en France, en raison de sa taille et de celle de son agglomération. Le courtage représente déjà 50% de l’ensemble des financements. La province n’est aujourd’hui qu’a 30%.  C’est une vraie force de pouvoir moduler le concept en fonction de la zone d’implantation. Je dirais que la clé du succès, qu’on soit à Paris ou en province, est de connaître parfaitement sa localité… et c’est notre cas puisque nous sommes originaires de Nantes.

Elle est assez dense et très bien calibrée, s’étalant sur sept semaines. Elle comporte une session sur le terrain et nous recevons également la visite régulière d’un animateur régional, qui nous prodigue de précieux conseils.

Nos six premiers mois sont plus que prometteurs, puisque nous avons facturé des prestations au bout d’à peine huit semaines. Depuis, notre chiffre d’affaires connaît une hausse régulière et nous atteindrons nos objectifs en continuant sur ce rythme.

Je dirais qu’on ne naît pas entrepreneur, on le devient… Mais avec l’aide d’Artemis Courtage, on le devient un peu plus vite !

                                                     Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian