« Lors de l'ouverture, un animateur de réseau et d’autres franchisés m’ont soutenu »

Raphaël Destremau : Je réfléchissais depuis plusieurs années à la façon dont je pourrais orienter ma vie professionnelle suite à mes expériences en tant que salarié. Je voulais créer ou reprendre une entreprise et c'est en rencontrant l’équipe d'Irrijardin lors d'une journée découverte à Noé, siège du groupe en Haute-Garonne, que j’ai décidé de me lancer dans la franchise.

J'ai en premier lieu ressenti une grande confiance envers son dirigeant Yves Allibert et les membres du comité de direction. La seconde raison est la pertinence du concept marchand Irrijardin, qui travaille sur trois métiers qui sont la piscine, le spa et l'arrosage, ainsi que sur l’offre produits et le concept merchandising. Enfin, l’équilibre financier des montages proposés pour se lancer dans une franchise Irrijardin était en adéquation avec mes capacités et mes besoins.

Dès le début, l’enseigne a pris en main mon parcours, dans le domaine de la recherche du local et de la formation au métier de franchisé, qui s'est étalée sur quatre mois. J'ai également pu bénéficier d’une assistance au niveau de la rédaction de mon business plan et on m’a présenté des banques partenaires du groupe pour financer mon projet. Lors de l'ouverture, un animateur de réseau et d’autres franchisés m’ont soutenu en se déplaçant en magasin pour m'assister et me conseiller.

Une fois arrivé au magasin, je fais un point sur les messages reçus et réponds et mets en place mon magasin (rayons, opération commerciales....). Ensuite je fais les devis ou les commandes des clients qui en ont fait la demande. Puis je passe la journée à accueillir les clients au magasin, ou bien je me rends sur des chantiers en cours. En fin de journée, je prends rendez-vous avec des clients et des prospects afin d'étuder leur projet.

Que cela continue sur la même lancée.. et c'est bien parti, puisque après mon point de vente de Craponne, je m'apprête à ouvrir un second magasin cette fois à Ecully, au printemps 2018.

                                  Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian