Interview franchise Liberto - Vivarte

Entretien avec Olivier Cabarrot

Olivier Cabarrot - le

La marque Liberto a connu la notoriété dans les années 80. Elle a opéré un repositionnement radical depuis plusieurs années et cherche désormais à séduire la clientèle des 25- 35 ans. Olivier Cabarrot, directeur général de Liberto, explique la stratégie de développement de l’enseigne.

: La marque Liberto bénéficie d’une importante notoriété. Pouvez-vous détailler ses spécificités ?

Olivier Cabarrot : La marque a été relancée de façon importante en septembre 2005. Nous avons d’abord travaillé le produit en opérant un retour aux sources de la marque, en ciblant la clientèle des trentenaires décontractés, chics et élégants, avec pour base le jeans. Notre marque tend vers des univers casual chic et branché, avec des magasins dédiés à une clientèle mixte. Le fait que nos collections soient mixtes est très important pour notre cible. Les 25- 35 ans se promènent souvent en couple et apprécient de venir faire quelques achats à deux dans nos magasins. Nos collections proposent des vêtements qui rejoignent la tendance de s’habiller plus chic et plus élégant. Les chemises sont ajustées, avec des coupes plus étroites. Nous venons de lancer un jean pour homme à la coupe étroite, le « Iggy ». Nous misons beaucoup sur les détails, avec des boutons de nacre, une doublure de col en liberty pour nos chemises par exemple. Notre clientèle est composée essentiellement de jeunes adultes. Le panier moyen dans nos magasins tourne autour de 90€, ce qui correspond au prix d’une paire de jeans chez nous. Nos robes sont vendues autour de 55e, les chemises d’hommes coûtent 65 à 70€. Notre prix le plus important cette saison est celui d’une salopette en jean, vendue 130€. Notre collection comporte peu d’accessoires, si ce n’est une petite gamme de sous vêtements masculins. Nous recherchons des licenciés en accessoires afin de compléter cette gamme. Nous travaillons notamment avec la Halle aux Chaussures sous la marque Liberto.

Comment se présentent les magasins de l’enseigne ?

Nos magasins ont été repensés à l’image de nos produits. Les sols sont couverts de chêne, les portants sont en acier aspect vieilli, les lustres ont été dessinés par un styliste italien et donnent une touche de modernité. Notre volonté était de mettre en avant nos produits, pas seulement le concept du magasin qui a été mis au point en interne. Entre avril 2006 et février 2007, nous avons ouvert quatorze magasins en affiliation, dont deux en propre. Toutes ces boutiques ont été ouvertes sous le nouveau concept, qui a une particularité de taille : tout est modulable. Le mobilier est sobre et permet d’installer la marchandise à sa guise, de s’adapter au lieu et de régionaliser nos magasins. Notre magasin de Saint Etienne, par exemple, possède des murs en pierres apparentes. Nous avons fait le choix de mettre en avant ces pierres. Notre concept est uniforme, mais il supporte très bien d’être régionalisé. La marque Liberto avait tout d’une belle endormie. Les gens ne savaient plus exactement qui nous étions. Après un travail important sur notre image et sur nos produits, nous bénéficions à nouveau d’une bonne notoriété.

Quels sont vos projets de développement ?

Nous avons signé plusieurs contrats en vue d’ouvertures prévues au second semestre. Nous aimerions arriver à un total d’une quarantaine de magasins dans trois ans, implantés plutôt en centre ville, sur des surfaces de soixante dix à soixante quinze mètres carrés, en emplacement 1 ou 1 bis. Nous étudions également des ouvertures en centre commerciaux comme à Labège ou Vélizy. Nos magasins sont installés dans des villes de 50 000 habitants comme Charleville Mézières ou d’autres beaucoup plus étendues comme Rennes, Saint Etienne ou Lille. Tout dépend des affiliés qui nous rejoignent.

Quel type de candidats recherchez-vous ?

Nos affiliés se répartissent en trois types distincts : il s’agit soit de commerçants de produits textiles, soit d’investisseurs (15%), soit de personnes désireuses de se lancer dans le commerce et qui souhaitent évoluer dans une activité encadrée. Ils reçoivent une formation au siège et sur leur point de vente, qui porte sur les produits, ainsi qu’une aide au marchandising. Nous recherchons des personnes qui ont un profil commerçant. Ensuite, nous leur apprenons ce qu’est un jeans, comment il se vend, plus une foule de choses techniques qui tournent autour de ce produit particulier. Les services immobiliers de Vivarte se chargent, quant à eux, de la recherche de locaux adaptés.

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