DO&KA - Marie Jacques : "C'est avec DO&KA que j'ai eu envie de me lancer"

Marie Jacques : Avant de rejoindre DO&KA, j'étais restauratrice. Cela fait 13 ans que je suis à mon compte. Nous tenons une brasserie dans un centre commercial avec mon mari.

Oui, mon mari continue. Et moi aussi d'ailleurs, mais uniquement sur la partie administrative. Sur la partie présentielle, je suis uniquement dans l'animalerie.

Cela fait des années que je suis passionnée par les animaux. J'en ai toujours eu à la maison, des chiens, des chats, des lapins… depuis que je suis toute petite ! Il y a quelques années, je me suis même lancée dans le secteur associatif. Je gère ainsi une association de protection animale. J'ai moi-même à la maison cinq chiens, dont des chiens handicapés. J'ai des lapins aussi qui viennent de refuge. Je suis également passionnée de nutrition animale, j'ai fait toutes sortes de formations. J'ai passé l'ACACED, j'ai appris la naturopathie... Il y a vraiment beaucoup de choses qui m'intéressent dans ce milieu. Il y a un peu plus d’un an, j'ai décidé de continuer le non lucratif, mais de faire aussi du lucratif ! On a commencé à se renseigner sur les différentes franchises qui existaient. J'en ai rencontré d'ailleurs d'autres, mais pour diverses raisons mon choix s’est arrêté sur DO&KA.

Cela fait très longtemps que je suis à mon compte. Toute la partie administrative, gestion de société, je peux gérer et c’est d’ailleurs moi qui le fais au sein de notre restaurant. En revanche, monter un concept où il faut négocier des prix, sélectionner les marques àrentrer, faire le pricing, calculer les bonnes marges... Tout cet aspect technique qui est réellement propre à ce milieu de l'animalerie, je n'ai pas d'expérience. J’avais besoin d’être accompagnée et encadrée. En étudiant un petit peu le concept, les marques que proposait DO&KA me plaisaient et c’est avec eux que j'ai eu envie de travailler. Tout était donc réuni pour que je me dise : allez, il faut que j'y aille avec la franchise parce que toute seule, je risque de me casser la figure. N’étant pas du milieu, même ma banque, qui nous accompagne depuis 13 ans car on a réellement une grosse structure sur la partie restauration, ne m’aurait pas suivie au niveau des prêts si je n’avais pas été accompagnée par une franchise.

J’ai effectivement rencontré un autre concept que je ne citerai pas, mais avec lequel ça ne s'est pas spécialement bien passé parce que j'avais plus la sensation qu'ils cherchaient des directeurs capables d'investissement mais devant s’effacer vis-à-vis de la franchise. Or, vous imaginez que quand on travaille dans une brasserie depuis 13 ans, on a un petit peu de caractère et on est autonome. Ainsi, je désirais de l'accompagnement mais je voulais conserver une certaine liberté. C'est ce que j'ai trouvé chez DO&KA. On a l'accompagnement, on a des règles à suivre, bien évidemment, que j'accepte, parce que sinon, je ne serais pas allée me franchiser. Mais j'ai quand même une certaine liberté. C'est une jeune franchise qui grandit. Donc, il y a vraiment un échange, un partenariat. Si on n'est pas d'accord sur quelque chose ou qu'on préfère par exemple travailler une autre marque, il y a une écoute, ce n'est pas fermé.

Les débuts d’une société sont toujours un peu compliqués. Cela représente beaucoup de stress. Par ailleurs, nous avons repris une cellule nue, c'est-à-dire qu’elle venait d'être construite, donc sans électricité, sans eau, sans rien. Nous avions donc le stress d’être prêts à temps, à l'ouverture. Ça s'est fait en un mois ! On aime bien se donner des petits objectifs comme ça avec mon mari ! Nos deux mois se sont bien passés avec une activité calme puisque nous avons ouverts au moment des vacances scolaires. Nous nous attachons désormais à nous faire connaître. Il faut que les gens sachent qu'on est là. On communique beaucoup et petit à petit, on avance.

Oui, je pense qu'il y a un vrai potentiel. Nous avons d’ailleurs beaucoup de concurrence à proximité. Je suis quelqu'un d'optimiste. Je me suis énormément formée, notamment en nutrition pour être compétente et je suis sûre de DO&KA. C’est encore un peu tôt pour faire un bilan, mais je suis optimiste pour la suite.