« La formation m'a permis d'acquérir toutes les connaissances théoriques et pratiques pour démarrer »

Emmanuel Denais : Après ma classe de Troisième Générale, j'ai décidé d'aller vers un métier manuel. J'ai donc passé un CAP-BEP Sanitaire en deux ans, dans un lycée professionnel. De là, j'ai trouvé une entreprise qui m'a permis de valider un CAP-BEP Chauffage, en alternance sur une année. C'est alors que mon employeur m'a proposé de passer un Brevet Professionnel Génie Climatique, toujours en alternance. J'ai par la suite évolué au sein de l'entreprise, devenant chef d'équipe puis chef de chantier.

Mon premier employeur a constamment cherché à me faire progresser et j'ai eu l'opportunité de quitter ma région natale pour devenir Technicien de Maintenance Photovoltaïque en Rhône-Alpes et PACA, puis je suis passé Responsable dans le domaine de la méthanisation en région Auvergne. Au bout de trois année, j'a souhaité me mettre à mon compte et j'ai opté pour une franchise, afin de bénéficier d'un soutien technique et administratif.

J'ai été attiré en premier lieu par le secteur d'activité que je connaissais au moins en partie. Même si je maîtrisais la partie climatisation, France Hygiène Ventilation m'a formé pour tout ce qui concernait le nettoyage des hottes, à l'aide d'un accompagnement constant. J'ai pu me reposer sur une hotline disponible pour toutes mes questions avant le lancement, puis une fois que mon activité s'est lancée, j'ai reçu la visite du franchiseur, afin de faire un point complet et de parfaire mon modèle.

C'est à Caen que s'est déroulée la formation initiale, au siège de la marque, sur une période de trois semaines. Le cursus comprenait la prise en main du logiciel FHV, une période d'immersion au sein d'une équipe confirmée, ce qui m'a permis d'acquérir toutes les connaissances théoriques et pratiques pour démarrer.

A l'intention des candidats à la franchise souhaitant tenter l'aventure auprès de France Hygiène Ventilation, je ne peux que leur conseiller d'entrer dans le réseau. Tous les profils sont acceptés, d'autant que la formation permet de combler les lacunes, qu'il s'agisse de la partie technique ou commerciale.

                            Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian