Interview Saga Cosmetics

« SAGA Cosmetics a un bel avenir en franchise »

Bruno Le Drezen - le

Gérant de magasin puis animateur de réseau, Bruno Le Drezen s’est lancé un challenge professionnel en créant son entreprise sur un secteur qui lui était totalement étranger. Il est aujourd’hui à la tête de deux points de vente SAGA Cosmetics. Désormais associé à l’intégration des nouveaux membres du réseau, il envisage l’ouverture d’une troisième unité. 

: Quel a été votre parcours professionnel avant de rejoindre le réseau SAGA Cosmetics ?

Bruno Le Drezen 2Bruno Le Drezen : Gérant avec plusieurs associés d’un magasin de textile sous enseigne Vêt’Affaires de 1995 à 2003, j’ai ouvert trois autres points de vente en Bretagne avant de prendre la fonction d’animateur de réseau toujours au sein de cette enseigne. Cette expérience a duré sept ans. Après 15 ans passés dans le même groupe et lassés des déplacements multiples nécessaires au suivi de la vingtaine de magasins dont j’avais la charge, j’ai voulu donner une nouvelle dimension à ma carrière.

Comment êtes-vous entré en contact avec la franchise SAGA Cosmetics ?

En 2009, j’ai contacté la Chambre de Commerce et d’Industrie de Lorient. Après avoir étudié mon parcours et étant donné mon profil, on m’a conseillé de me rapprocher d’un réseau de franchise. Le hasard a fait qu’au même moment, je suis entré en contact avec Fabrice Soullard, le fondateur de SAGA Cosmetics. Il m’a exposé son attention de lancer son enseigne en franchise.

Cette rencontre a débouché sur l’ouverture de votre première boutique…

J’ai d’emblée été intéressé par le produit, l’enseigne, le concept et j’ai été en confiance avec le fondateur…J’appréhendais toutefois le risque lié à une première ouverture en franchise. Mais ce projet correspondait au challenge que je souhaitais me lancer. Rapidement, le franchiseur m’a aidé à rechercher un local en se concentrant sur Lorient, Quimper et Vannes. Après de nombreuses visites, nous avons trouvé un local intéressant à Lorient. Le réseau m’a également assisté dans ma recherche de partenaire bancaire, dans le choix d’un notaire, d’un expert-comptable, d’un agenceur…Mon premier point de vente a finalement ouvert ses portes en octobre 2010 et a nécessité un investissement d’environ 200 000 euros.

Vous n’aviez aucune connaissance des cosmétiques. Comment le franchiseur vous a-t-il formé à votre nouveau métier ?

Avant l’ouverture de ma boutique, j’ai effectué 15 jours de formation dans un magasin à Angers. J’ai pu être formé aux produits. A l’ouverture du point de vente, j’ai recruté deux vendeuses et j’ai été assisté par le réseau sur la partie informatique, merchandising…

Vos résultats ont-ils été en phase avec votre prévisionnel ?

Nous avons réalisé une très belle ouverture. Nos objectifs ont largement été dépassés. Nous avons ouvert à une période propice, pendant les vacances scolaires de la Toussaint, et bénéficié d’une belle opération publicitaire qui nous a permis de se faire connaître rapidement.

Vous avez finalement ouvert une deuxième unité, à Vannes ?

Dès le départ, j’ai misé sur l’ouverture d’un deuxième point de vente. J’ai attendu un an et mon premier bilan pour pouvoir me lancer dans ce nouveau projet. Il fallait aussi que je puisse m’organiser avec mon équipe pour me libérer et avoir le temps de rechercher un nouveau local. Les démarches ont été plus difficiles avec des négociations immobilières compliquées. Le réseau m’a alors proposé l’aide d’une personne dédiée. Nous avons essuyé plusieurs échecs et consacré toute notre énergie à cette recherche immobilière sur Vannes. J’ai finalement pu acquérir un local après six mois de négociation. Et ma seconde boutique a ouvert en juillet dernier.

Vous vous partagez entre deux points de vente. Comment s’organise votre quotidien ?

A l’ouverture du magasin de Vannes, mon épouse m’a rejoint. Nous sommes présents à tour de rôle au sein des points de vente en fonction de l’activité, des commandes, des réceptions de marchandises et du planning du personnel.

Cette deuxième ouverture s’est-elle aussi bien passée que la première ?

Nous avons ouvert en pleine période estivale ce qui nous a permis de bien travailler avec les touristes. A partir de septembre, nous avons touché les étudiantes et les habitants du centre-ville. Cette seconde ouverture s’est donc également bien passée. Notre concept est novateur, il est attrayant grâce au choix des produits, des marques et grâce aux prix compétitifs que nous pratiquons. Nous délivrons également un service de conseil en plus du produit. Cette valeur ajoutée est très importante pour notre clientèle.

Avez-vous d’autres projets avec l’enseigne SAGA Cosmetics ?

J’envisage l’ouverture d’une troisième unité d’ici un à deux ans. Aujourd’hui, je collabore également avec le réseau à l’intégration des nouveaux franchisés.

Quel a finalement été l’apport du franchiseur dans votre création d’entreprise ?

Le franchiseur m’apporte des produits qu’il sélectionne en fonction des besoins de la clientèle. Je ne suis pas acheteur et je ne possède pas cette expertise. La formation et l’assistance reçues m’ont permis d’être à l’aise avec l’univers des cosmétiques. Je suis très proche de ma clientèle et fier d’avoir choisi une enseigne qui a devant elle un bel avenir en franchise.

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