Akwaba est un concept spécialisé dans les travaux d'imprimerie en numérique pour la communication. Le métier de base est tout simplement la réponse aux besoins de l'impression numérique de haute qualité au service de la petite quantité, jusqu'à l'unité, alors que les imprimeurs fabriquent uniquement en grande quantité. Comment cela est-il possible ? C'est ce que nous sommes allé demander au franchiseur du concept, le bouillonnant Philippe Rivière...
Rodolphe Hatchadourian : Quelle est l'origine de votre intrigant nom, Akwaba ?
Philippe Rivière : "Akwaba" signifie "Bienvenue" dans un dialecte de Côte d'Ivoire. Ce nom a été choisi par Bernard Beaumel, qui a longtemps vécu en Afrique, où il a mis au point des techniques d'impression inédites. A son retour en France, il s'est associé avec Jean-Paul Lafrancesca, infographiste, qui s’occupe du développement avec moi-même.
Quelles sont les spécificités de votre concept ?
Nous fabriquons des cartes de visite plastifiées, des tapis de souris, des menus de restaurant, des affiches hygiène-santé-sécurité ainsi que des cartes PVC à codes barres, etc… Nos procédés exclusifs nous permettent de baisser significativement les coûts de production. De plus, nous parvenons à rester rentables sur des petites quantités, même à l'unité !
Que proposez-vous à vos franchisés ?
Pour un droit d'entrée de 15.000 euros et un investissement de 20.000 euros, nos franchisés peuvent démarrer leur activité sereinement, après une semaine de formation complète à Bordeaux.
Quel est le rythme de développement d'Akwaba ?
Il va bien au-delà de nos espérances : en quelques mois une dizaine de studios ont ouvert leurs portes et des signatures sont programmées. Nous sommes en phase de lancement d'une grande nouveauté : des stands disponibles dans les bureaux de tabac qui permettront de commander simplement des cartes de visite dans ces lieux très fréquentés, nous apportant une clientèle supplémentaire...
Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian