Interview franchise Viens Jouer à la Maison

"Viens Jouer à la Maison a su me rassurer et m'accompagner"

Camille Womser - le

Depuis août dernier, Camille Wormser est franchisée du réseau Viens Jouer à la Maison à Boulogne-Billancourt. 

: Qu’avez-vous fait professionnellement avant de rejoindre le réseau Viens Jouer à la Maison ?

Camille Womser : J’ai travaillé durant six ans au service marketing d’un laboratoire pharmaceutique. Après mon second congé maternité, j’ai souhaité créer mon entreprise. L’ambiance dans société était bonne, les échanges avec la hiérarchie me convenaient mais j’avais peu de perspectives d’évolution à court terme. J’ai donc négocié une rupture conventionnelle pour rendre plus confortables mes recherches. Comme je désirais bénéficier d’un accompagnement personnalisé et que j’appréhendais de créer seule, je me suis d’emblée tourner vers la franchise.

Comment se sont passées les recherches pour trouver votre franchiseur ?

Dans un premier temps, j’ai jeté mon dévolu sur une enseigne de puériculture. Je suis allée assez loin dans ce projet mais la recherche du local s’est avérée extrêmement compliquée. Le franchiseur avait des critères d’implantation très précis. Le local devait être situé sur un emplacement premium. Au final, les frais engendrés ne correspondaient plus mon projet. J’ai donc décidé de faire machine arrière et de repartir à la recherche du franchiseur et du concept idéal. Je voulais rester dans le domaine de l’enfance et être sûre de faire le bon choix.
Sur le salon Franchise Expo Paris 2011, j’ai rencontré le réseau Viens Jouer à la Maison. Ce concept destiné aux enfants, alliant une boutique et un atelier d’activités, m’a séduit. Il permet en effet d’aborder deux facettes du commerce : la vente de produits et la proposition de services. Cette double activité permet de pérenniser le chiffre d’affaires. Seul l’aspect management du personnel m’a un peu freiné au départ. Je n’avais pas envie de me retrouver face à des difficultés de personnel. A vrai dire, gérer des employés me faisait peur. Mais le concept me plaisait vraiment et le franchiseur a su me rassurer. Il a eu raison car aujourd’hui j’emploie cinq personnes et je m’en sors plutôt bien !

Avez-vous rencontré des difficultés lors de la création de votre entreprise ?

La recherche du local s’est avérée très délicate : j’ai mis un an à trouver le lieu idéal ! Je souhaitais rester sur mon lieu d’habitation, à Sèvres. Mais je n’ai pas réussi à trouver le local adéquat. Pour trouver mes 80 m² minimum de plein pied sur un axe passant et vu, j’ai finalement élargi ma zone de prospection. Après de longues recherches, j’ai eu la chance de trouver un emplacement dans une zone résidentielle de Boulogne-Billancourt. J’ai décroché un pas de porte raisonnable. Durant toutes mes recherches, je suis restée en relation permanente avec le franchiseur qui était présent pour toutes les visites. Nous avons validé ce local ensemble.

La recherche du financement s’est-elle elle aussi avérée difficile ?

Heureusement, non ! Elle a même été très rapide. Après avoir monté mon dossier seule, je suis allée voir la Bred, une banque qui croit au concept et qui venait d’accorder un financement à une autre franchisée du réseau. Cette expérience a joué en ma faveur et mon dossier était bien ficelé.

Vous avez ensuite entamé votre formation ?

Oui. Ma formation a duré trois semaines et m’a permis d’aborder la partie BtoB, la partie Bto C ainsi que la mise en pratique des ateliers. Je me suis familiarisée avec le contenu pédagogique des activités proposées. La directrice pédagogique nous a mis en situation pour que l’on puisse travailler le déroulé d’ateliers types. J’ai également participé à des journées d’observation en boutique. La première a lieu avant la signature du DIP et a pour but de vérifier que l’activité est conforme à nos attentes. Ensuite, quelques semaines avant l’ouverture, nous mettons en pratique nos acquis au sein d’un point de vente du réseau. La formation ne s’arrête pas là : au moment de l’ouverture, le franchiseur est présent durant une semaine pour nous aider à implanter la boutique, nous soutenir en caisse et nous donner un coup de main pour les inscriptions. Enfin, la directrice pédagogique est présente durant une semaine lors de la mise en place des ateliers.

Comment avez-vous pensé votre plan de communication ?

Pour me faire connaître, j’ai distribué de nombreux flyers en main propre dans des lieux stratégiques : parc, proximité d’écoles… Je suis également allée rencontrer des prescripteurs : pédiatre, gynécologue, ORL. J’ai démarché la Mairie, les élus de quartier et acheté un encart presse dans un guide pratique distribué à Boulogne-Billancourt et Issy-les-Moulineaux. Enfin, j’ai inauguré mon point de vente en présence du Maire.

Vous avez ouvert votre franchise il y a quatre mois, quel est votre sentiment aujourd’hui?

Je suis plutôt contente, j’apprécie particulièrement la polyvalence de mon activité. Je suis moins présente à la maison puisque cette activité m’occupe six jours sur sept mais ce projet a été pensé en famille et mon époux était conscient qu’il devrait prendre le relai auprès de nos deux filles de 2 ans ½ et quatre ans ½ le samedi. Je me suis aussi entourée d’un expert-comptable pour être déchargée de la partie « chiffres » et je profite des moments calmes à la boutique pour gérer l’administratif. Mon activité est en phase avec mon prévisionnel. La boutique tourne bien et 65 personnes sont abonnées aux ateliers.

Quid de votre rémunération ?

Après six ans passés dans la même entreprise, j’ai réussi à négocier une rupture conventionnelle. Les Assedics me versent un salaire jusqu’en avril prochain. J’envisage de me commencer à me verser une petite rémunération à partir de juin ou de la rentrée prochaine, si mon expert-comptable est d’accord !

Comment voyez-vous votre avenir aux côtés du réseau Viens Jouer à la Maison ?

Il est toujours très difficile de se projeter. Néanmoins, je me laisse trois ans pour asseoir et pérenniser mon entreprise. Pour l’heure, j’ai reçu un très bon accueil des habitants de Boulogne-Billancourt et d’Issy-les-Moulineaux. J’espère avoir un bon taux de réinscription en juin prochain et, comme Boulogne est une ville très peuplée, je ne m’interdis pas de songer à l’ouverture d’une seconde boutique.

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