« Nous souhaitons ouvrir une dizaine de franchises à travers la France »

Karim Guessab : C'est avec mes associés Florian et Karen Debiesse, ma compagne et son frère, que nous avons mené à bien ce projet familial. C’est d’ailleurs toute l’essence de l’entreprise et la valeur essentielle que je souhaite garder. La réussite et l’expansion ont été immédiates puisque la rentabilité a été atteinte dès le premier mois. Cela nous a conduit à ouvrir un second centre à Villefranche sur Saône un an plus tard et à passer à la franchise à Valence, 18 mois après la création.

Pour moi, le franchisé idéal, c’est une personne qui a signé depuis quelque temps avec nous déjà et qui un beau jour, se félicite de sa réussite et nous remercie pour la contribution qu’on a pu lui apporter. Nous travaillons au quotidien pour cela et c’est notre seul but : faire en sorte qu’un franchisé n’ait jamais aucun regret. Notre formation initiale dure 12 jours, comprenant une partie théorique dans notre centre de formation à Villefranche sur Saône (5 jours), 5 jours dans un centre partenaire en situation et 2 jours d'assistance à l’ouverture. Par la suite, nous rendons visite régulièrement à nos franchisés et proposons en cas de besoin des formations complémentaires ou des stages dans nos centres partenaires.

Aujourd’hui, notre stratégie d’expansion est très claire : nous souhaitons ouvrir une dizaine de Closed Escape Game à travers la France et nous comptons déjà des signatures à Aix en Provence et à Nîmes. D'autre projets sont en cours de finalisation à Nantes, Paris ou Toulon… Notre chiffre d'affaires s'élève à 1.5 million d'euros : nous sommes en avance sur nos prévisions et nous réjouissons de cette réussite !

Nous souhaitons poursuivre sur notre lancée, en faisant découvrir notre concept et notre enseigne à un maximum de candidats. En parallèle, nous étudions des extensions de centres existants et intégrons la réalité virtuelle... En bref, nous suivons de près toutes les innovations en lien avec le domaine du divertissement.

                         Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian