Interview franchise Ink'Eko

Interview de Jean-Baptiste Clément, d’Ink'Eko

Jean-Baptiste Clément - le 18 septembre 2009

Rodolphe Hatchadourian : Pour débuter, quel est l’historique de votre société ?

Jean-Baptiste Clément : Nous avons racheté Ink'Eko en 2006 avec des associés, et immédiatement, nous avons émis le souhait de moderniser le concept, en l’orientant vers une offre de boutique servant uniquement de pont de vente, l’ensemble des prestations de recharge étant sous-traitée.

Quel profil de candidats recherchez-vous ?

Nous sommes à la recherche de profils commerciaux, aucun bagage technique n’étant nécessaire puisque les opérations de remplissage de cartouche sont prises en charge par le franchiseur. Chaque boutique travaille sur des zones très étendues, car la majorité des actions se déroule en dehors des points de vente, par du démarchage ou des contacts téléphoniques.

A qui vous adressez-vous ?

A l’heure actuelle, nous prenons en charge la grande majorité des marques et des modèles de cartouche, et notre clientèle est constituée autant d’entreprises, qui font 50% d’économies grâce à nous, que de particuliers, dont les économies peuvent atteindre 40% en faisant appel à nos services.

Quel bilan faîtes-vous de votre premier semestre 2009 ?

Nous avons déjà ouvert trois unités : à Pontoise en février, Lyon en mars et Rodez en juin. Nous avons également signé un contrat pour la ville de Caen et nos contacts sont bien avancés dans la région Nord. Nous atteindrons ainsi nos objectifs fixés en début d’année.

Et pour 2010 ?

Nous souhaitons conserver notre rythme de développement, de l’ordre de 6 ouvertures l’an prochain, dans toute la France, et pour des agglomérations de toute taille.

Propos recueillis par Rodolphe Hatchadourian

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