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Tout juste diplômés, ils ont créé leur franchise

La valeur n’attend point le nombre des années… Cette citation de Corneille, de jeunes diplômés l’ont fait leur en créant, dès la fin de leurs études, leur entreprise. Pour se lancer, ils ont choisi la franchise. Plutôt que de les décourager, leurs réseaux respectifs les ont accueillis avec enthousiasme, grisés par la volonté de ces jeunes entrepreneurs prêts à en découdre.

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Tout juste diplômés, ils ont créé leur franchise Quand Laurent Marx a intégré, à 23 ans, l’enseigne immobilière Solvimo, il a pris la place du plus jeune franchisé du réseau . Une situation qui n’a pas fait peur à Olivier Alonso, Pdg du groupe. Au contraire. « Dès ma première rencontre avec Laurent, j’ai été enthousiasmé par sa maturité, malgré son âge. Avec mon équipe, nous avons ressenti chez lui l’étoffe d’un entrepreneur et sa capacité à manager une équipe commerciale. En conséquence, le fait qu’il soit jeune diplômé n’était plus déterminant et devenait anecdotique. Depuis, nous avons accueilli avec succès d’autres franchisés de moins de 30 ans. Pour les franchisés du réseau, l’agence de Saint-Laurent-du-Var possède une valeur d’exemple. Ils apprécient la jeunesse, la fougue et la capacité de travail de Laurent. Ce dernier a par ailleurs su rester humble vis-à-vis de tous les franchisés malgré son insolente réussite ! »

Tout juste diplômés, ils ont créé leur franchise

De son côté, Laurent Marx l’avoue, il s’est lancé dans l’immobilier comme il aurait pu ouvrir un camion à pizza. « J’étais motivé pour créer mon entreprise. Quand mon père m’a incité à me lancer, je n’ai pas hésité, sans avoir d’idées précises de ce que je voulais faire. » Après quatre années sur les bancs de l’école de commerce niçoise l’Ipag, il s’oriente vers le management sportif. Rugbyman de haut niveau, on lui propose un emploi dans une Chambre des métiers. Une expérience d’un an qui lui laissera un goût de pas assez. « Je m’ennuyais ferme ! » Il pense donc à la franchise et au secteur de l’immobilier. « Grâce à mes études, je pouvais obtenir la carte professionnelle ». L’avantage de la jeunesse, c’est qu’on réfléchit moins. Aidé par son père, il ouvre son agence immobilière sous enseigne Solvimo en mars 2009 à Saint-Laurent-du-Var, après une formation initiale de six semaines . Les six premiers mois sont éprouvants. « J’ai effectué un mauvais recrutement qui m’a coûté cher. Nous ne vendions rien et avions des difficultés à constituer notre stock. » Mais à force d’abnégation et de travail, aidé par son franchiseur, Laurent entre dans une spirale positive. Rapidement, il s’associe avec son négociateur et monte avec lui une seconde unité à Cagnes-sur-Mer. Résultat, sa première agence réalise près de 500 000 euros de chiffre d’affaires alors que celle de Cagnes-sur-Mer a engendré 200 000 euros de chiffre d’affaires six mois après son lancement. « Quand on est jeune, on compense son manque d’expérience par la volonté de réussir. »

La jeunesse, un atout plus qu’un inconvénient pour créer son entreprise

Ce n’est pas un frein d’être jeune. C’est aussi ce que pense Marc Dargelas. A 24 ans, fraîchement diplômé de l’Ecole Supérieure de Commerce de Pau, il suit la piste familiale en souhaitant devenir chef d’entreprise. « Après un bac +5, j’avais deux envies : rester indépendant et entreprendre dans ma région natale. » S’il hésite entre la restauration rapide, les services à la personne et l’immobilier, il sait déjà qu’il montera son projet en franchise, un mode de développement étudié durant son BTS qui, selon lui, lui apportera à la fois la notoriété et le savoir-faire. Les investissements en restauration rapide étant lourds et le secteur des services à la personne étant trop dépendant des aides de l’Etat, il opte finalement pour l’immobilier et le réseau Guy Hoquet qui lui réserve un excellent accueil et lui propose le lieu d’implantation qu’il souhaite. « L’enseigne n’a pas été perturbée par mon jeune âge et mon manque d’expérience. Mon projet était viable et mon parcours couronné d’une année de spécialité en entreprenariat était cohérent. »

Tout juste diplômés, ils ont créé leur franchise

L’accueil est plus frais dans les établissements bancaires. « Il a fallu séduire et convaincre . Heureusement, après plusieurs déconvenues, un banquier du réseau des Banques Populaires a cru à mon projet tout en étant rassuré par les chiffres et l’expérience du franchiseur. » Trois ans après l’ouverture de son agence immobilière à Soustons, Marc Dargelas est satisfait. Après quelques réflexions de clients le jugeant trop jeune pour gérer des biens de valeur, son entreprise a trouvé son rythme de croisière. Elle devrait dépasser les 300 000 euros de chiffre d’affaires cette année. Alors qu’il n’a pas encore 30 ans, Marc envisage soit l’ouverture d’une seconde agence soit une diversification dans un autre secteur d’activité, toujours en franchise. « L’avantage quand on entreprend en étant jeune, c’est que l’on n’a pas encore de contraintes familiales et qu’on ne compte pas ses heures », résume le jeune franchisé.

Sans diplôme, on peut aussi réussir à créer sa boite

Tout juste diplômés, ils ont créé leur franchise Si certains jeunes décident de créer leur franchise leur diplôme tout juste en poche, certains entrepreneurs ne passent même pas par la case Ecole de commerce. Et cela ne les empêche ni de trouver un réseau prêt à les accueillir, ni de performer une fois lancés. C’est le cas de Franck Dubessy. Franchisé du réseau immobilier Laforêt , ce dernier a créé son entreprise alors qu’il n’a même pas été jusqu'au bac. Après un long parcours professionnel chez Renault, il a donc opté pour l’immobilier. « En 2006, j’ai choisi la franchise en pensant aller plus vite. Selon moi, une franchise apporte 30% de chiffre d’affaires supplémentaire. N’étant pas du métier, j’avais également besoin de m’appuyer sur une formation et des méthodes éprouvées », confie l’entrepreneur. Fin 2010, il était à la tête de la plus grosse agence de la région Rhône-Alpes en termes de chiffre d’affaires et fait partie des dix plus grosses agences de France depuis. Une réussite qu’il explique en partie par le fait d’avoir arrêté l’école très tôt. « Cela m’a servi de moteur : ce que je ne sais pas, j’ai toujours voulu l’apprendre des autres. Ma soif d’apprendre et à ma volonté de réussir m’ont permis d’avancer dans le bon sens. »

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