Interview franchise O2
Alban Pompon - Franchisé et gérant de l'agence O2 Chécy - O2
Alban Pompon, Franchisé et gérant de l'agence O2 Chécy - le
La rédaction : QUEL A ÉTÉ VOTRE PARCOURS PROFESSIONNEL AVANT DE VOUS LANCER EN FRANCHISE ?
Alban Pompon : J’ai commencé ma vie professionnelle dans l’animation, en village de vacances. Pendant six ans, j’ai été animateur sportif puis directeur adjoint. Ensuite, j’ai rejoint l’Assurance Maladie où j’ai exercé pendant 25 ans. En tout, j’ai passé 31 années dans le salariat avant d’embrasser l’entrepreneuriat.
Je n’avais pas en tête, au départ, de devenir chef d’entreprise. Mais je m’étais toujours dit que si je devais un jour me lancer en indépendant, ce serait via une franchise. Le modèle me paraissait rassurant, structurant, et plus sécurisant que de créer seul de A à Z.

POURQUOI AVEZ-VOUS CHOISI CE SECTEUR ET CE RÉSEAU ?
Tout au long de mon parcours, j’ai toujours eu à cœur d’être utile. En village vacances, je rendais service dans le domaine du loisirs, puis dans le secteur de la santé avec une forte dimension sociale. Le secteur des services à la personne s’inscrit dans cette continuité : apporter du confort, de l’aide, une vraie utilité dans le quotidien des gens.
Ce qui m’a convaincu chez O₂, c’est l’alignement entre mes aspirations et l’identité du réseau. Dans un contexte de reconversion professionnelle, savoir ce que l’on cherche est fondamental. Et ici, je me suis tout de suite senti en phase avec les valeurs : bienveillance, exigence, proximité.
Avant de m’engager, j’ai contacté 18 franchisés. Je voulais vraiment comprendre ce que signifiait être franchisé O₂ au quotidien. J’ai été très bien accueilli, avec des échanges transparents, sans langue de bois. La plupart étaient implantés en cœur de métropole, moi je souhaitais m’installer en zone périurbaine. Ces discussions m’ont permis de me projeter concrètement.
COMMENT VOUS ACCOMPAGNE LE FRANCHISEUR ?
L’accompagnement est très structurant. Au départ, tous les chantiers s’ouvrent en même temps : trouver un local, recruter, prospecter, poser ses outils RH… Mais on n’est jamais seul. On avance pas à pas, guidé par un chargé de développement. C’est une vraie acculturation à la marque, avec un parcours balisé, conçu pour réussir.
Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est que le réseau ne cherche pas à nous faire rentrer dans un moule. Au contraire, on prend en compte nos appétences personnelles, on est encouragé à capitaliser sur nos forces et accompagné pour progresser là où on est moins à l’aise. On entre ainsi dans une dynamique positive, étape après étape.
QUELS SONT SELON VOUS LES ATOUTS DU RÉSEAU QUE VOUS AVEZ CHOISI ?
Chez moi, O₂ n’était pas très connu au départ. Mais ce que j’ai immédiatement apprécié, c’est le positionnement de la marque. L’image premium, la rigueur dans les process, la qualité des supports : tout cela correspond à mon territoire, à l’image que je veux véhiculer et au service que je souhaite apporter.
Un autre avantage non négligeable : la structuration RH du modèle. Elle permet de proposer de meilleures conditions à ses équipes, de fidéliser les salariés, et de limiter le turnover. C’est une vraie force.
QUELS SONT VOS PROJETS À COURT ET MOYEN TERME ?
Dans un premier temps, je souhaite continuer de développer ma notoriété locale. Je cherche à sortir du cadre strictement local et à identifier des leviers plus puissants de communication et de promotion. Je travaille notamment sur un partenariat avec un événement sportif, et je m’intéresse aux actions à mener avec les comités sociaux et économiques (CSE).
Sur le plan métier, je commence à structurer une offre de garde d’enfants. J’aurai bientôt la capacité RH suffisante pour démarrer ce nouveau service, notamment sur les missions en lien avec les assurances.
Enfin, sur le volet entrepreneurial, la CCI du Loiret souhaite valoriser mon parcours dans le cadre d’une opération nationale. Un article est en préparation pour mettre en lumière le développement de mon agence et mon engagement local.
J’ai ouvert il y a un semestre, en décembre. Ce que je retiens déjà, c’est le fort sentiment d’appartenance que le réseau O₂ entretient auprès de ses franchisés. Les conventions, les réunions régionales, les échanges fréquents : tout est pensé pour nous faire avancer ensemble. C’est très stimulant.
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