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Banque et Courtage de crédits : les lignes bougent très vite dans l’intérêt de l’emprunteur (par In&Fi Crédits)

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Selon l’APIC, le syndicat professionnel des courtiers la part de marché des courtiers pourrait doubler dans les trois ans à venir.
De son côté, Pascal Beuvelet, président d’In&Fi Crédits, renchérit : « en plus de la qualité de nos services, c’est le Code Monétaire et Financier qui sacralise notre activité. Désormais notre métier, le Courtage de Crédits, fait définitivement partie intégrante de l’univers de l’intermédiation bancaire. »

Les enjeux sont particulièrement importants.

Il s’agit en effet d’un bassin financier qui repose sur plus 1 000 000 de ventes par an (logements anciens et neufs) dont près de 900 000 nécessitent un financement pour un montant moyen de 147 000 €, ce qui représente bon an mal an un besoin global de l’ordre de 132 milliards d’euros.

C’est donc un enjeu majeur pour les deux professionnels du crédit que sont les banques et les courtiers.

Aujourd’hui, les courtiers en crédits intermédient plus de 30% des dossiers de crédits par an (270 000). Cette part de marché se développe de plus de 10% par an avec le consentement et le concours avisé des établissements de crédits qui ont parfaitement identifié l’intérêt économique et commercial de la prescription via le canal des courtiers.

De fait, tous les réseaux bancaires hormis quelques banques régionales mutualistes (pas toutes) ont conclu des partenariats avec les grandes enseignes de courtage. En effet, dans un domaine aussi concurrentiel, il n’est plus possible pour un établissement de s’exclure d’un modèle de distribution déjà choisi par plus de 30% des emprunteurs.

Il faut dire que, pour une banque, la gestion salariale du poste pérennisé d’un conseiller en crédit immobilier coûte très cher pour un rendement faible.

Sur 900 000 financements par an, 270 000 sont réalisés par les courtiers. Reste donc 630 000 dossiers réalisés par un maillage national de 38 000 agences bancaires. C’est une moyenne de 16.5 dossiers par an par agence où il faut nécessairement déployer un personnel qualifié et sans cesse au fait des modifications réglementaires.


Ce modèle d’un conseiller qualifié par agence n’est plus viable à une époque où la banque doit faire une mutation complète de son réseau (15% des agences ne sont pas profitables et plus de 10% devront être fermées).
Dès lors, il est plus rentable de confier la commercialisation, l’analyse et le montage des dossiers de crédits à un tiers de confiance qui est payé au seul succès sur la base d’une rémunération fixe clairement identifiée.

Convaincu du potentiel de croissance de son activité, Pascal Beuvelet explique : « En 2014 notre profession détenait 30% de part de marché alors que seulement 40% des emprunteurs ont consulté un courtier. Dans ces conditions, je suis convaincu que lorsque 80% nous solliciteront, notre part de marché atteindra les 50 à 60%. Notre croissance est irréversible »

Grâce aux médias et au bouche-à-oreille, les consommateurs identifient toujours mieux l’utilité de recourir aux services d’un courtier en crédit. Aujourd’hui, ils ne se privent plus de cette l’opportunité puisqu’ils ont désormais le pouvoir d’arbitrer sereinement entre plusieurs offres de financement bancaire.

Il s’agit donc d’un véritable bouleversement où, dans un domaine aussi réglementé que la finance, la libre concurrence peut enfin jouer à plein dans l’intérêt direct du consommateur.

Communiqué fourni par l'enseigne

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