Actualités de la franchise

L'impact de la crise et de la règlementation sur les parts de marché des courtiers IOB

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Impact de la crise

L’investissement immobilier est toujours considéré par les français comme la meilleure valeur refuge.

En France les besoins en logement sont sous-dimensionnés, seulement 58% des ménages sont propriétaires, alors que nous sommes l’un des pays de l’UE ou l’on épargne le plus.

La demande des emprunteurs ne faiblira pas.

La crise impacte directement chaque groupe bancaire en fonction de son exposition aux dettes d’état et/ou de ses engagements dans la BFI et/ou son appréciation du risque interbancaire.
Les banques attaquées devront impérativement, et plus rapidement que prévu, justifier de leur solvabilité et restaurer une confiance très éprouvée.

En 2012 la concurrence entre banques sur toutes leurs lignes de métier sera au plus haut niveau que nous ayons connu.

Ainsi, concernant la distribution du crédit immobilier nous allons assister à un véritable « chassé-croisé » permanent des banques qui navigueront entre :
- Une politique de taux bas pour une conquête commerciale qui fera les dépôts de demain.
- Une politique de taux ménageant les meilleures marges au détriment de la prise de part de marché.
- Des conditions d’octroi renforcées pour plus faible exposition au risque d’impayés.

Cette configuration concurrentielle impose aux banques et établissements de crédits de ne négliger aucun canal de conquête et surtout pas le courtage qui représente désormais plus de 20%, en croissance, des volumes distribués.

Comme en 2008/2009, où nos chiffres ont progressé de de 27%, la crise de actuelle sera une nouvelle opportunité d’augmenter nos parts de marché en utilisant activement les disparités qui se feront jour entre les politiques tarifaires des unes et des autres et les règles prudentielles. Outre la meilleure solution crédit, nous mettrons en avant nos atouts « confiance et professionnalisme » lesquels sont déterminants dans l’arbitrage final de nos clients compte tenu du climat anxiogène et de leur relative défiance vis-à-vis des banques.

La qualité de l’offre des courtiers In&Fi est appréciée des emprunteurs puisque nos chiffres de l’exercice 2010 ont été atteints dès la fin du 3ième trimestre !

N’oublions pas également que le marché du courtage en crédit est toujours en construction. Les parts de marché des courtiers sont en permanence à la hausse (15 % en 2006 vs 22% en 2010) avec une prévision de 35% à l’horizon 2013.


Impact de la règlementation

L’étude sur l’intermédiation du crédit immobilier réalisée à l’échelon européen par Arcturus Group en 2011 démontre que le plus haut niveau sécuritaire et prudentiel de la réglementation régulant l’activité des intermédiaires de crédit a pour conséquence économique directe une forte augmentation de leurs parts de marché.
Sécurisés en effet par les dispositions légales identifiées, les consommateurs auront de plus en plus recours à des intermédiaires définitivement professionnalisés capables de leur préconiser le meilleur choix comparatif.
Ainsi depuis 2004, année où les courtiers britanniques ont été soumis à une réglementation encadrant l’accès à la profession et la protection du consommateur, leur part de marché est passée de 35% à 60%.
Même constat chez nos confrères irlandais qui, depuis la mise en place en 2007 du Consumer Crédit Act, assurent la distribution de 50% des volumes de crédits.
L’activité des intermédiaires en Opérations de Banque français est désormais encadrée par la Loi de Régulation Bancaire de 22 octobre 2010 et son décret d’application dont la promulgation est programmée pour la fin de cette année 2011.
Le décret à venir imposera, pour la première fois l’obligation d’une formation habilitante de 150 heures.
Précurseur dans ce domaine, notre Réseau assure déjà 175 heures de formation à tous ses franchisés.
La mise en place de la régulation va également permettre à l’Autorité de Contrôle Prudentiel d’appliquer dorénavant la réglementation, grâce aux 80 contrôleurs recrutés dernièrement. Le recours par certains groupes au statut d’agent commercial, incompatible avec notre activité puisque réglementée, sera vraisemblablement l’objet des premières vérifications.
De même, un des éléments différenciant de notre réseau est d’avoir permis à nos franchisés d’être de véritables IOB en étant titulaires de leurs mandats bancaires.
En effet, la réglementation a précisé que seul le sous-mandatement de niveau 1 était possible. Cette disposition fermera les portes du mandataire indépendant à beaucoup de réseaux ayant pris le modèle du mandat bancaire signé par la tête de réseau.

Conclusion

Le marché de la distribution du crédit est ouvert et en progression constante.
Les courtiers bénéficient d’une couverture médiatique valorisante.
La conjoncture actuelle, le renforcement de la réglementation et une concurrence en questionnement sur son business modèle et la règlementation permettent à notre entreprise déjà structurée et stabilisée de poursuivre activement son développement pour imposer son leadership.

Pascal Beuvelet, Président du groupe In&fi

Communiqué fourni par l'enseigne

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