La chocolaterie en franchise : concepts pour tous les budgets

Qu'on dispose d’un bel apport personnel, que l’on soit cadre en reconversion, que l’on soit un jeune entrepreneur… les franchises ont des concepts à tous les profils se présentant sur le marché du chocolat. Il n’est qu’à voir la foule qui se presse chaque année sur le salon Franchise Expo Paris autour des franchises de chocolat, et qu’on ne nous dise pas que le seul intérêt des visiteurs est de se faire offrir une dégustation, même si cela est certes bien agréable et permet de se délecter d’un petit plaisir, entre deux rendez-vous professionnels… Non, en réalité, la majorité des personnes qui souhaitent ouvrir une franchise de chocolat trouveront sans mal un concept adapté à leur parcours, à leurs attentes, à leurs goûts… Ce qui importe avant tout, c’est l’envie d’entreprendre et le contact avec le franchiseur, même si les finances ont évidemment leur rôle à jouer dans la décision finale.

Ainsi, il faut compter 50 000 € minimum d’apport personnel pour monter son magasin, mais la note peut s’élever à plus de 130 000 € si l’on désire jouir d’un emplacement imprenable, au cœur d’une grande ville touristique.

Pourquoi rejoindre une franchise dans la chocolaterie ?

Pour la bonne et simple raison que le secteur se révèle très porteur. Car on vend du chocolat en toutes saisons et pas seulement à Pâques et à Noël. En effet, les réseaux ont su créer des événements calendaires afin de répartir le chiffre d’affaires tout au long de l’année. On offre désormais du chocolat pour la Saint Valentin, pour Halloween et pour d’autres fêtes plus récentes, comme la fête des secrétaires ou celle des grands-mères (à quand la fête des grands-pères d’ailleurs ?).

Mais comment créer sa chocolaterie ? On peut faire le choix de l’indépendance, et ainsi voir la totalité de son chiffre d’affaires nous revenir. Mais le revers de la médaille est que dans ce cas, il faut absolument s’occuper de tout en solo. Et quand on ouvre un magasin, il y a quantité de choses à penser : gérer la trésorerie au départ, définir un concept et une gamme de prix, trouver le bon emplacement, faire des choix de décoration et d’agencement…

Il faut aussi consacrer beaucoup de temps et d’énergie au catalogue qu’on souhaite mettre en vente et trouver les bons fournisseurs. Sans oublier tout ce qui concerne la communication… car à quoi sert d’avoir le plus beau magasin qui soit s’il reste inconnu des consommateurs potentiels, à l’exception des riverains passant devant chaque jour… Il n’est pas si étonnant de constater le succès de la franchise dans la chocolaterie quand on analyse tous ces points… Car entrer dans un réseau permet de s’affranchir de bon nombre de ces tâches, ou du moins de les réaliser en suivant un plan défini, qui a fait ses preuves auprès d’autres franchisés par le passé !

Comment fonctionne une chocolaterie en franchise ?

Pour qui n’a jamais été commerçant et ne connaît guère la franchise, il est nécessaire d’expliquer les bases du fonctionnement d'une franchise de chocolat. de ce type de magasin.
Il faut tout d’abord savoir que même si le chocolat est un produit à forte saisonalité (Noël et Pâques sont les deux grandes périodes d’affluence), il n’en reste pas moins vrai que ce type de magasin doit rester ouvert tous les jours de l’année, y compris les dimanches et jours fériés. C’est même ces jours-là qu’on fait les meilleures performances, un peu comme dans la fleur. Car le chocolat est perçu comme un cadeau, qui peut être offert à des personnes qu’on fréquente, à des collèges, à son amoureux/se, à ses enfants… en résumé, tout le monde est susceptible d’être sensible à un tel présent, à la fois original et plein de goût.

Ouvrir un concept différent

Au-delà de la chocolaterie traditionnelle de centre ville, il existe bien d’autres types de magasins vendant des chocolats. Parmi ceux-ci, les glaciers, dont le parfum chocolaté fait partie des meilleures ventes, si bien qu’il est désormais décliné en brownies, caramel, Nutella, etc… Pour avoir une idée plus précise, rendez-vous d’urgence dans les Amorino ou les autres concepts ayant le vent en poupe, les yaourths glacés. Apparus il y a moins de 10 ans en France et dans le monde, ces produits s’arrachent littéralement, au point que des concepts entièrement dédiés ont vu le jour, avec un succès grandissant (Yogurt Factory pour en citer un)