Sans compromis, la négociation n’aboutira nulle part ! N’oubliez donc pas de vous réserver, dès le départ, une marge de manœuvre qui ne touche pas à vos exigences indiscutables.
Prenez également en compte le contexte général du réseau concerné et faites en sorte, autant que possible, qu’aucune partie (le franchisé cédant, le franchiseur et vous-même) ne considère l’issue des négociations comme un échec.
Il est indispensable d’étudier en profondeur le dossier de la franchise (et du réseau) à l’avance (CA, résultats, situation….) afin d’anticiper au mieux les exigences et attentes de vos vis-à-vis.
Pensez également à déterminer au préalable vos propres exigences ainsi que votre marge de tolérance. Fixez, par exemple, ce que vous estimez être des points négociables, peu négociables, ou encore les points de blocage.
Souvent décisive, son assistance est dans tous les cas des plus utiles pour l’avancement des négociations. Notez que les services d’un expert deviendront indispensables à l’issue des négociations (transformation de cette issue en un protocole d’accord).
Certes ; elle n’est pas (légalement) considérée comme un engagement définitif, mais la lettre d’intention demeure le symbole d’un désir commun de mener les négociations de la reprise à bon port.
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