Dossiers de la franchise
Devenir franchisé en 2026 : deux concepts qui changent la donne !
Jamais la franchise n’a autant attiré les candidats à l’entrepreneuriat. Dans une filière qui continue de se structurer et où les concepts gagnent en maturité, l'envie de « faire quelque chose qui a du sens » gagne les porteurs de projet. Et bien qu’encore jeunes, certains réseaux proposent des concepts déjà très aboutis et attractifs. Parmi eux, Cafés BOC et La Table des Bro's, deux enseignes à l’ADN distinct mais unies par une même exigence d’accompagner et de préparer leurs futurs partenaires. Leur point commun ? Un souci profond de la qualité du produit, de l'expérience client et de l'impact humain et social de leur activité. Dans cet article, nous avons interrogé Henri Lemarié, fondateur de Cafés BOC, et Loris Tricoli, co-fondateur de La Table des Bro's. Leur regard croisé offre un panorama lucide, concret et inspirant pour toutes celles et ceux qui envisagent de se lancer prochainement dans la franchise.
Devenir franchisé en 2026 : une quête de sens et d'indépendance
La franchise attire aujourd'hui des profils en quête d'indépendance et de cohérence. Mais cette évolution s'inscrit dans un mouvement sociétal plus large, qui valorise transparence et authenticité.
Quelques chiffres : 2 089 réseaux de franchise [1] - 90 588 points de vente franchisés [1] - 33% des Français aimeraient créer leur entreprise, dont 52% en franchise [2] - 46% de femmes chez les franchisés [2] - 76% de candidats sont d’anciens salariés [2] - 35 ans d’âge moyen d’ouverture du premier point de vente [2] - 79% des franchisés estiment mieux résister à la crise qu’un commerçant isolé [2] - [1] Fédération française de la franchise [2] 21ème Enquête de la Franchise Banque Populaire
Une aspiration généralisée à l'entrepreneuriat
« Cela fait 20 ans que je suis entrepreneur et j'observe cette tendance forte, tous secteurs confondus : des profils de tous âges quittent le confort du salariat pour retrouver davantage de liberté », constate Henri Lemarié.
Une observation qui trouve écho chez Loris Tricoli : « L’entrepreneuriat séduit, mais la franchise rassure d’autant plus : on a l'impression qu'il n'y a quasiment que ça qui marche ! Mon frère et moi le constatons à Grenoble, où beaucoup de concepts de street food sont présents. »

Car les candidats aspirent à gérer leur vie comme ils l'entendent, et ils ne veulent plus subir des organisations complexes, qu'ils ne maîtrisent pas. Ils veulent se réapproprier leur destin professionnel, malgré les inconvénients de la vie de chef d’entreprise.
Une quête de transparence qui traverse notre société
Pour le fondateur de Café BOC, cette évolution résonne avec des changements profonds dans les habitudes de consommation : « Mes clients viennent chercher de la pédagogie sur les produits, davantage de transparence. »
Un véritable fil rouge pour une génération désireuse de consommer et d’entreprendre autrement. Et un cadre qu’épouse naturellement la franchise, en offrant un équilibre entre indépendance et sécurité, entre entrepreneuriat et accompagnement.
Des concepts éprouvés dans un marché qui se professionnalise
« Nous en échangeons avec notre conseil, Framboise Consulting, comme nous le voyons en consultant l'Observatoire : le nombre de franchises qui se lancent dans tous les secteurs d'activité est impressionnant », explique le co-fondateur de la Table des Bro’s.
Une inflation d'offre qui appelle néanmoins à la vigilance et à la préparation. « Les candidats posent de bonnes questions car ils veulent valider la valeur opérationnelle et économique d’un concept. Cela va dans le bon sens », poursuit-il.
Cafés BOC : réinventer le métier d'artisan-torréfacteur
Cafés BOC ne se contente pas de vendre du café : l'enseigne ressuscite un métier artisanal disparu et porte un projet à impact social. Présentation d'un concept à part.
Un concept unique : ressusciter un métier disparu
« Notre concept est inédit. Nous achetons du café vert cru, le franchisé le transforme avec un torréfacteur directement en boutique, où il vend le paquet de café torréfié aux clients », résume Henri Lemarié.
Un modèle qui peut sembler évident, mais pourtant malmené. « Ce modèle a disparu dans les années 1980, où de nouvelles formes de distribution ont privilégié les canaux CHR », poursuit-il. Résultat : « on ne recense plus que 800 torréfacteurs en France, et on retrouve en franchise essentiellement des enseignes de coffee shop, pas des artisans transformateurs. »
Créé il y a 93 ans, Cafés BOC fait revivre ce métier et développe un réseau de petites boutiques de centre-ville. « Nous offrons aux consommateurs en quête de transparence la possibilité de rencontrer un artisan légitime dans son métier. »
Les deux boutiques du Mans servent 120 clients par jour, pour un prix entre 24 et 28 centimes la tasse, « soit l’équivalent d’une mauvaise dosette, et le double pour Nespresso - qui reste une "boîte noire pédagogique" comparé à nous », argumente le fondateur.
Un projet d'impact social et environnemental avant tout
Pour Henri Lemarié, la rencontre de producteurs de café dans monde entier va tout changer. « Un choc : j'y ai vu une filière en grande souffrance, en voie de disparition », assure-t-il. En effet, les producteurs sont sous-rémunérés et le dérèglement climatique fait flamber les prix du café vert, dont le cours de bourse a quadruplé ces dernières années.
« Le café, c'est le second produit échangé sur les marchés derrière le pétrole », rappelle-t-il. Mais le plus alarmant reste la projection : 50% des terres arables dédiées au café pourraient disparaître d'ici 2050. Face à l’urgence, l’artisan se demande comment il peut contribuer. « Les fermes ont besoin de visibilité, d'engagement sur de grosses quantités. Seul, je ne pouvais pas acheter une référence de café pour vingt tonnes (un container) par an. D’où l’idée de créer un réseau pour pouvoir développer des volumes. »
Henri Lemarié noue aussi des partenariats stratégiques. Notamment avec Belco, une société éminente - membre de la convention des entreprises pour le climat, ayant racheté des sites pour en faire des fermes-écoles, « Ils soutiennent notre proposition de valeur et notre projet de durabilité », appuie-t-il.
Un modèle accessible et rentable
Cafés BOC a structuré son développement avec le cabinet TGS et son financement avec la Banque Populaire Grand Ouest.
Décomposition de l'investissement initial : Enveloppe globale : 160 K€ - Torréfacteur en crédit-bail : 60 K€ - Reste à financer de 100 K€, dont 20 K€ d'apport (10 K€ en personnel + 10 K€ en prêt d'honneur) - soit 80 K€ à obtenir en concours bancaires.
Un concept qui reste très accessible, pour une rentabilité autour du douzième mois d'exploitation - une performance à saluer.
Une formation d'excellence avec une MOF
Le savoir-faire de l’enseigne est documenté dans un manuel opérationnel complet, fruit de près d’un siècle d'expérience. Sans compter le recul de cinq ans dans le recrutement et la formation de l’équipe siège au Mans. Bientôt homologué centre de formation, Café BOC dispose d'un syllabus structuré, coconstruit avec Daniela Capuano, Meilleure Ouvrière de France en torréfaction 2019. Il s’intègre dans une formation initiale de trois semaines, dont deux au siège et une sur le futur site. De quoi permettre au franchisé de torréfier en toute autonomie, « sachant qu’il bénéficie d’un référent en cas de questions et qu’il peut revenir suivre un deuxième niveau de formation, plus complet, pour acquérir une maîtrise avancée et créer sa propre sélection de café », complète le franchiseur. Enfin, l'accompagnement comprend deux visites sur site par an, une assistance technique permanente, une animation en boutique, un appui en communication (community management, site boutique national) ainsi qu’une convention annuelle.
Une pédagogie au cœur de l'expérience client
Henri Lemarié tient aussi à transmettre une culture. « Je m'investis dans la pédagogie et j'anime des ateliers de caféologie qui sont pleins des mois à l'avance. » Une dimension éducative qui répond aux attentes d'une clientèle attentive.
Par ailleurs, les boutiques sont conçues en mode ouvert. « Elles permettent aux clients de voir comment le café est torréfié, et mettent la pédagogie au cœur de l’expérience. » Une pédagogie que complète la transparence du sourcing : « Comme nous payons bien le produit, il est récolté dans les meilleures conditions. Là où le café de commodité, mal rémunéré, est ramassé, trop vert voire trop mûr et doit être brûlé pour être consommé... », plaide l’expert.
Retrouvez plus d’informations sur Cafés BOC
La Table des Bro's : l'âme italienne réinventée

Avec ses racines siciliennes et son positionnement "Bistro et Resto", La Table des Bro's propose une expérience de restauration authentique, qualitative et conviviale.
Des racines siciliennes à un concept très actuel
« Étant donné nos origines, nous aimons prendre le temps de manger et avons la culture des repas d’antan, chaleureux », explique Loris Tricoli. Ses parents ont d’ailleurs tenu un restaurant pendant sept ans : « en grandissant dans cette ambiance, mon frère et moi-même savions que nous finirions par ouvrir notre restaurant. »
Pourtant, Nicolas Tricoli a un profil d'informaticien, et Loris était chef d'équipe dans le bâtiment. Mais plus qu'un handicap, ce dernier y voit l’occasion d’un regard neuf sur le métier. Ainsi, l'histoire prend forme avec "L'Endroit", ouvert à Grenoble, mais surtout dans un changement de concept pour « La Table des Bro's". « J’ai repris les parts de l’associé de mon frère et un an après, l'enseigne ouvrira à Voiron sous cette nouvelle identité. »
Puis lors de Franchise Expo Paris, les entrepreneurs rencontrent l'équipe de Framboise Consulting, qui les convainquent de tenter l’aventure de la franchise – fort de leurs quatre établissements.
Les signatures qui font la différence
La Table des Bro's propose quelques spécialités italiennes en raison des origines des fondateurs, mais propose principalement une cuisine traditionnelle. Le franchiseur crée des expériences gustatives mémorables autour de produits signatures. « En tant qu’épicuriens, nos recettes se veulent le prolongement de ce que nous aimons manger », insiste Loris. Une authenticité se traduisant par du fait maison, une carte resserrée mais travaillée, et des produits mieux sourcés.
Avec les pâtes flambées dans la meule de parmesan comme plat signature. « À Grenoble, personne ne le proposait quand nous nous sommes lancés », se souvient le dirigeant. Un plat spectaculaire, préparé devant le client, qui incarne l'esprit de convivialité et de générosité de l'enseigne.
Et il y a la cave de maturation. Présente dans chaque restaurant, elle permet de proposer des viandes maturées de haute qualité, un positionnement rare dans ce segment de la restauration.
Une marge d’approvisionnement significative
La Table des Bro's laisse une marge de manœuvre significative à ses licenciés : « Ils peuvent personnaliser l’équivalent de 20% de la carte. Car nous voulons qu'eux et leurs collaborateurs puissent exprimer leur créativité. » Cette souplesse qui garantit un équilibre subtil entre cohérence de marque et personnalisation.
Une professionnalisation accompagnée par Framboise Consulting
Le passage à la franchise a demandé une structuration approfondie du concept. « Par exemple, nous avons documenté nos recettes en fiches et retravaillé l'agencement des restaurants pour davantage d'homogénéité », explique Loris.
Puis il y a l'écosystème de partenaires étendu de leur conseil. « Framboise nous a mis en relation avec un spécialiste du géomarketing pour prédéfinir nos futures zones d'implantation. » Il en va de même pour l'architecture référent avec une société dotée d’une grande renommée (Korusgroup), l’avocat, l’expert-comptable et le courtier.
Loris Tricoli insiste aussi sur l’omniprésence nécessaire pour accompagner et rassurer les premiers licenciés du réseau.
Une ambition mesurée mais ambitieuse
Prudemment, notre interlocuteur table sur 2 ouvertures par an sur les prochaines années, pour assurer un accompagnement plus efficace, plus personnalisé. « Nous préférons faire peu au début mais bien », confie-t-il. Un développement qui servira aussi la capacité de négociation de l’enseigne, et bénéficiera aux futurs licenciés.
Retrouvez plus d’informations sur La Table des Bro’s
Les profils recherchés : au-delà des compétences techniques
Les deux enseignes recherchent avant tout des entrepreneurs capables d'incarner leurs valeurs et de transmettre leur passion. Décryptage des profils attendus pour chaque concept.
Chez Cafés BOC : incarner l'artisanat et la durabilité
Henri Lemarié recherche avant tout des candidats s’inscrivant dans la durabilité dans la filière. Pour lui, l'impact social et environnemental n'est pas du discours marketing mais le cœur du projet et un impératif d’alignement pour le franchisé.
Second critère, il doit être à la fois artisan et commerçant, ce qui n’est pas intuitif : « là où le commerçant est avenant, dans l'échange et le faire-savoir, l'artisan lui est méticuleux, concentré, bon dans l’application... » L’un ne va pas sans l’autre chez Cafés BOC. En revanche le dirigeant refuse les profils d’investisseur pur, préférant des exploitants engagés. « Au quotidien, nous voulons un capitaine qui transmettra sa passion à ses salariés, qui incarnera personnellement le concept et portera ses valeurs. » Le modèle pouvant fonctionner en solo au démarrage. Enfin, le réseau démarrant, les premiers franchisés auront l’avantage de trouver un secteur proche de chez eux.
Chez La Table des Bro's : partage, autonomie et leadership
Bien que le réseau soit naissant, là aussi, ses critères de recrutement sont bien définis. « Nous recherchons des entrepreneurs compatibles sur le plan humain, qui nous fassent confiance et qui croient dans notre projet », précise Loris Tricoli. Les futurs licenciés doivent partager les valeurs, avoir le goût du partage et de la qualité.
Le dirigeant recherche également des profils capables de monter rapidement en autonomie, des meneurs d’homme, pédagogues et dotés d’un bon leadership. Pour autant, La Table des Bro’s ne privilégie pas les profils issus de la restauration, au contraire.
Avec ses conseils, l’enseigne peut trier efficacement les candidatures entrantes. « Le marché des candidats est assez tendu, d'où l'importance de cibler les bons profils dès le départ », reconnaît Loris. « Mais quoi qu’il en soit, les premiers licenciés seront particulièrement choyés, ils auront droit à un traitement de faveur et les cinq premiers bénéficieront d’une remise sur le droit d’entrée ! »
L'accompagnement : garantir la réussite opérationnelle
La qualité de l'accompagnement fait la différence entre un franchisé / licencié qui réussit et celui qui peine. Les deux réseaux proposent des parcours complets pour sécuriser chaque lancement.
Une formation immersive et pragmatique
Avec près d’un siècle d’expérience, les boutiques de Cafés BOC fonctionnent selon un modèle très éprouvé. En cinq ans, l'enseigne a recruté et formé une dizaine de collaborateurs, et son savoir-faire est codifié dans un manuel opératoire. « Trois semaines seulement suffisent pour qu’un novice en torréfaction devienne autonome, et faire de lui un franchisé opérationnel », confie Henri Lemarié.
Même durée de formation initiale chez La Table des Bro's. « D’emblée nous mettons nos licenciés dans des situations pratiques. Ils découvrent le restaurant, les cuisines, la salle, les outils digitaux, et tout le suivi avant / pendant / après l'ouverture. Ils apprennent à cuisiner, à gérer la salle, à organiser une journée type... », détaille Loris Tricoli.
Un suivi permanent pour sécuriser la réussite
L'accompagnement ne s'arrête pas après la formation initiale, et un franchisé soutenu et encadré prendra les bonnes décisions plus vite, limitera les erreurs coûteuses et progressera plus rapidement.
Par exemple Cafés BOC propose une assistance permanente avec un référent technique, et un accès au manuel opérationnel en ligne avec tous les process métiers. Quant à La Table des Bro's, elle peut faire valoir une proximité avec les premiers candidats et la richesse de son écosystème professionnel.
Lors de vos échanges préliminaires, demandez au futur franchiseur le détail de la formation initiale, du suivi terrain et de l'assistance permanente. Ces questions légitimes font de vous un candidat de qualité !
Les tendances 2025 : proximité, transparence et expérience
Les deux franchiseurs identifient notamment deux tendances de marché, dont leur concept sait tirer parti.
Le retour de l'artisanat et de la proximité
« On constate dans les métiers de bouche un retour à l'artisanat et à la proximité, et un retour en grâce des centres-villes avec des concepts ajustés, comme Decathlon City », observe le fondateur de Cafés BOC, convaincu par un positionnement alliant conseil et proximité.
Dans cette quête de proximité, les clients recherchent de la légitimité et de la crédibilité. « Les clients veulent faire confiance à notre récit. Le fait d'être artisans et de leur montrer comment nous travaillons, grâce à nos boutiques conçues en mode ouvert, les rassure. »
L'importance croissante des réseaux sociaux
Le co-fondateur de La Table des Bro’s le confirme : aujourd’hui, ils font la pluie et le beau temps en matière de food. « Instagram, notamment, impose aux concepts de soigner leur identité visuelle et de créer des contenus engageants. »
Comme les clients viennent autant pour une ambiance que pour les recettes, le franchiseur isérois a investi en recrutant un community manager. « La seconde étape sera d’identifier un ambassadeur de qualité », conclut-il.
Cafés BOC et La Table des Bro's représentent une nouvelle génération de franchises où l'impact social, la qualité du produit et l'accompagnement humain se conjuguent pour offrir des modèles entrepreneuriaux cohérents et durables. Pour les entrepreneurs motivés en quête d'un projet porteur de sens, l'opportunité est là. Alors pourquoi hésiter encore ? Venez explorer ces réseaux et d’autres encore, en parcourant l’Observatoire de la Franchise pour établir votre shortlist et préparer vos dossiers de candidature !
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Conseil éditorial depuis 2017, Nicolas Coutel dispose de quinze ans d’expérience en marketing et communication - dont 10 ans chez Mazars où il a contribué au développement d’une offre de service à destination des réseaux de franchise.
C’est sur cette base qu’il décide de créer son activité, pour se consacrer à l’écriture de contenus pour les enseignes et leur écosystème de conseils.
Titulaire d’une maîtrise en droit public, Nicolas est également diplômé du programme Grande Ecole de Neoma Reims et d’un Master 2 en Sciences de gestion. Féru de développement personnel, il est aussi titulaire d’un certification en coaching professionnel.
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