La cession de franchise impliquera forcément trois parties distinctes dont l’accord demeure essentiel.
Tout d’abord, le franchiseur dont l’approbation de tout repreneur potentiel est indispensable (étant donné l’implication directe de son enseigne dans le processus de cession).
Les deux autres parties sont le franchisé souhaitant céder sa structure (et il demeure libre de rechercher lui-même un repreneur), ainsi que le repreneur en question.
Que vous soyez cédant, repreneur ou franchiseur, vous serez amené à consentir à certaines concessions afin de mener la procédure à bon terme. Chaque partie ayant ses propres besoins et exigences, le réel défi sera de marier la conception de chacun à la nature du réseau lui-même.
Certes ; le concept de la reprise est généralement conçu comme l’une des opérations professionnelles les plus profitables et satisfaisantes pour toutes les parties impliquées. Néanmoins, les franchiseurs se montrent souvent – et à juste titre d’ailleurs- extrêmement exigeants et peuvent même opposer des refus répétés aux choix de repreneurs effectués par leurs franchisés.
La clé ? Veiller à constituer un dossier financier en béton et sélectionner un repreneur dont les valeurs et compétences apportent un bonus indéniable au réseau.
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