La franchise Courtepaille signe le Pacte pour l’égalité de traitement des candidats dans l’accès à l’emploi

Depuis le mois de mars dernier, la franchise de restauration Courtepaille a montré sa détermination à poursuivre son plan d'action en matière de lutte contre la discrimination. La diversité, la non-discrimination, la valorisation par les compétences et les aptitudes et le bien-être au travail font partie des valeurs de Courtepaille. Cela aboutit à la signature, ce jour, du Pacte d’égalité de traitement des candidats dans l’accès à l’emploi, quelques soient leurs origines. Aujourd’hui à la tête de 286 établissements (dont 91 franchisés), Courtepaille se félicite de l’intérêt et l’ouverture du Ministère du Travail, de l’Emploi, de la Formation Professionnelle et du Dialogue Social à réexaminer les mesures et bonnes pratiques existantes depuis de nombreuses années au sein de l’entreprise et apprécier les engagements pris notamment en matière de contrôle des pratiques pour renforcer durablement la prévention de la discrimination. « Courtepaille donne sa chance à tous, sans distinction d’origine, de sexe, d’âge ou de religion. A ce jour, nous comptons 56 nationalités différentes dans les 286 restaurants : la preuve d’un engagement fort dans une politique de diversité, de non-discrimination et d’égalité des chances », souligne Anne-Marie Costet, Présidente de Courtepaille.

Avec plus de 5 000 recrutements par an, Courtepaille est l’un des premiers acteurs à initier, dès 2008, la Méthode de Recrutement par Simulation (MRS) en partenariat avec Pôle Emploi. Cette méthode favorise un recrutement sur les aptitudes et compétences en situation professionnelle, éloignant tout biais lié notamment aux origines. Depuis 10 ans, Courtepaille participe au Club Génération Responsable qui regroupent 47 000 points de vente qui construisent avec enthousiasme, l'avenir du commerce de proximité. Courtepaille est par ailleurs partenaire du Fonds Impact pour favoriser l’entrepreneuriat dans les 1 500 quartiers prioritaires de la politique de la Ville (QPV).

La rédaction