Franchise restauration : les projets de la Boucherie

Le groupe de restauration La Boucherie s’adresse autant aux porteurs de projets non issus de la restauration commerciale qu’aux professionnels installés désireux de rejoindre une enseigne, ou encore aux investisseurs à la recherche d’une valeur sûre.

Les 63 établissements La Boucherie réalisaient un chiffre d’affaires 2008 de 64 M€.
Grâce à une offre thématique qualitative, un concept modulable en la Boucherie « Café », « Restaurant » ou « Grill », et un modèle économique tout aussi adapté à la périphérie commerciale qu’aux centres-villes, le groupe revendique 100 restaurants à horizon 2011.

En Ile-de-France : 5 à 6 restaurants sont attendus d’ici à fin 2010. A terme, 30 La Boucherie pourraient y éclore.

Paris est exclusivement dédié à la franchise. Attentif au marché parisien, le groupe confiera majoritairement sa marque à des restaurateurs et des hôteliers en place. Les restaurants devront disposer d’une bonne visibilité dans des quartiers à forte densité d’emplois.

Ainsi, mi-février, La Boucherie a installé à Paris son premier franchisé parisien Porte de Pantin. Il s’agit d’un professionnel de l’Hôtellerie qui - dans le cadre de la l’élargissement de son offre client - a choisi d’intégrer La Boucherie dans sa proposition restauration.

Le groupe La Boucherie concentre ses investissements dans l’acquisition de foncier dans les différents départements franciliens. Ces bâtiments solos seront exploités en direct, le groupe disposant aujourd’hui de la surface financière nécessaire pour asseoir son développement succursaliste sur des sites économiquement inaccessibles à la franchise.

En régions : une douzaine de restaurants ouvriront en 2009.
L’année démarre avec La Boucherie de Blois (établissement solo ouvert en février 2009).
A suivre au printemps, toujours en solo : Rennes (Saint-Grégoire), Vannes, Avranches et Saint-Nazaire (Trignac), Marcq en Barœul.

Périphérie commerciale et franchises de centre-ville, le plan de développement du groupe La Boucherie s’accélère sensiblement. Sans compter les projets autoroutiers initiés en juillet 2008 avec le groupe SSP.

Pour mémoire : selon les cas (création ex nihilo ou transformation d’un établissement existant – centre-ville ou périphérie commerciale), l’enveloppe (hors foncier) nécessaire à la création d’un La Boucherie est comprise entre 200.000 € et 1,2 M€. La zone de chalandise et la taille du restaurant conditionnent un chiffre d’affaires compris entre 800.000 € et plus de 2 M€. Le résultat d’exploitation se situe aux alentours de 10%.